Campagna italiana contro la proliferazione incontrollata dei satelliti artificiali

Il Forum Skylive lancia la campagna “No Tele-sats Proliferations” contro la diffusione incontrollata dei mini-satelliti per telecomunicazioni, chiediamo con forza alle istituzioni internazionali di emanare nuove normative per limitare sia il numero che la luminosità dei satelliti, ed inoltre di non arrecare interferenze ai radiotelescopi.

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Studio Inserm suffraga dubbi sui LED a luce fredda

Inquinamento Luminoso, cos'é, effetti collaterali e non, come si combatte

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Ranger.LazioStellato
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Studio Inserm suffraga dubbi sui LED a luce fredda

#1

Messaggio da Ranger.LazioStellato »

Se andate sul sito dell'

Institut national de la santé et de la recherche médicale
(Etablissement public de recherche à caractère scientifique et technologique)

http://www.inserm.fr/

e in alto a destra nel campo di ricerca digitate "led", arrivate qui http://www.inserm.fr/ezfind/research
e poi scegliendo di nuovo nella pagina di cui a questo link http://www.inserm.fr/cote-medias
con due passaggi arrivate a questo interessante articolo,
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2...ote-obscur-led

che parrebbe porre in evidenza come i LED a frequenza spettarle alta, quelli più "temibili" dal punto di vista dell'IL perché sorgente più facilmente diffusa dal pulviscolo e dall'umidità atmosferica, sarebbero anche quelli meno ... compatibili con la fisiologia della nostra retina.
E che quelli a temperatura colore più bassa, meno dannosi se ben dosati ed orientati dal punto di vista dell'IL, sarebbero quelli più tollerati. Dal punto di vista della "nostra causa", se confermato questo sarebbe un elemento in più a nostro favore nei rapporti con gli Enti locali, le Istituzioni ed il legislatore...

Ve lo riporto anche qui per vostra comodità.


Le côté obscur des LED

Les diodes électroluminescentes, qui dispensent une lumière très intense et contenant davantage de bleu, seraient plus toxiques pour la rétine que les ampoules classiques.


Elles consomment peu, ne chauffent pas, sont très résistantes et offrent des durées de vie spectaculaires de plusieurs dizaines de milliers d'heures: les diodes électroluminescentes, ou LED (acronyme anglais), ont peu à peu envahi notre quotidien. On les retrouve dans les phares de voiture ou dans l'éclairage public, les lampes de poche ou les luminaires d'intérieur. Cette nouvelle technologie est-elle pour autant dénuée de risques?

En 2010, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) avertissait sur leur luminosité très intense, potentiellement aveuglante (à illumination égale, une LED est bien plus compacte qu'une ampoule classique, donc plus brillante), et sur la forte proportion dans leur spectre lumineux de bleu, nocif pour la rétine. L'Anses pointait alors l'absence de réglementation adaptée à cet éclairage particulier.

Cinq ans plus tard, le vide juridique reste béant. Pire, une nouvelle étude menée par une équipe de l'Inserm et publiée au printemps dans la revue Free Radical Biology and Medicineest venue raviver les craintes existantes. Alice Torriglia, chercheuse Inserm au Centre de recherche des Cordeliers à Paris, et son équipe ont montré que la toxicité de LED commerciales communes était considérablement plus élevée que celle des néons… sur les rats albinos.

Dégradation de cellules
«Il ne faut que quelques heures d'exposition pour observer sur la rétine de ces animaux très fragiles des dégradations que l'on obtient en quelques jours d'exposition aux néons, s'inquiète la chercheuse. Nous n'avons évidemment pas des yeux de rats albinos, heureusement, mais les mécanismes physico-chimiques à l'œuvre restent similaires. Il faut rester très vigilant sur la toxicité potentielle des LED pour l'œil humain dans la mesure où elles seront bientôt omniprésentes.»

En l'occurrence, c'est le rayonnement bleu, dont les longueurs d'onde sont comprises entre 400 et 450 nanomètres, qui pose problème. «Cette lumière est plus énergétique que le rouge et le vert et il y en a bien plus dans les LED que dans les ampoules classiques, reconnaît Serge Picaud, responsable de l'équipe de pharmacotoxicité rétinienne à l'Institut de la vision, à Paris. Ce rayonnement bleu présente en plus la particularité d'être capté par des dérivés de pigments visuels qui vont transmettre cette énergie à l'oxygène, ce qui va favoriser l'oxydation de certains lipides ou protéines et provoquer ainsi la destruction ou la dégradation de cellules de la rétine.»

S'il y en a trop, les cellules qui font le ménage dans l'œil vont avoir de plus en plus de mal à effectuer correctement leur travail. «Lorsque les cellules dégradées deviennent trop nombreuses, cela peut conduire à un obscurcissement du centre du champ de vision, une maladie bien connue sous le nom de dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), rappelle Alice Torriglia. Il ne faudrait pas que l'on voit une explosion de cette maladie dans dix ou vingt ans parce que l'on n'a pas pris les précautions qui s'imposaient.» L'exposition de plus en plus importante des enfants, dont le cristallin très transparent ne filtre que très peu le bleu, contrairement à celui des adultes, est une source d'inquiétude supplémentaire.

Un tiers du marché
«Il ne faut pas non plus dramatiser, tempère Serge Picaud. Toute source de lumière peut être toxique pour l'œil, c'est une question d'usage. Comme les LED sont plus brillantes, il est désagréable de les regarder directement, ce qui limite probablement leur toxicité. Il serait néanmoins bon que leur dominante bleue puisse être limitée et que le grand public soit mieux informé qu'aujourd'hui.» Les LED «chaudes», plus prisées en Europe, sont par exemple moins nocives a priori que les «froides» qui dominent les marchés asiatiques.

À l'association française de l'éclairage (AFE), on se dit conscient du problème. «En France, les LED ne représentent aujourd'hui qu'un tiers environ du marché, contre 80 à 90 % au Canada, par exemple, explique son délégué général Alain Azaïs. L'absence de réglementation claire n'est pas rassurante pour les consommateurs.»

Les nouvelles études de toxicité, ainsi que les progrès effectués par les fabricants, conscients de la nécessité de rassurer les acheteurs, poussent aujourd'hui l'Anses à réaliser un nouveau rapport d'expertise. Les premières réunions sont prévues dans les semaines à venir. Il faudra au moins douze à dix-huit mois pour que l'agence publie ses nouvelles recommandations. L'AFE espère que les discussions aux échelons international, européen et national auront d'ici là donné lieu, dès 2016, à des réglementations plus appropriées sur cette source de lumière pleine d'avenir.


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Re: Uno studio dell'Inserm suffraga dubbi sui LED a luce fre

#2

Messaggio da serastrof »

Translation by Google Translate (detto anche il trans-ritardo):

"Il lato oscuro del LED

I LED, che forniscono una luce molto intensa e contenenti più blu sarebbe più tossico per la retina che le lampadine convenzionali.


Consumano poco, non riscaldare, sono molto resistenti e offrono spettacolari vita di decine di migliaia di ore: diodi emettitori di luce, o LED (acronimo), hanno progressivamente invaso la nostra vita quotidiana. Si trovano in fari delle automobili o l'illuminazione stradale, torce elettriche e illuminazione interna. È questa nuova tecnologia fornita senza rischio?

Nel 2010, l'Agenzia nazionale per la sicurezza sanitaria degli alimenti, ambiente e lavoro (Anses) ha avvertito il loro luminosità intensa, potenzialmente accecante (pari illuminazione, un LED è molto più compatta di una lampadina convenzionale pertanto chiara) e la percentuale in loro spettro di luce blu può essere dannosa per la retina. Anses ha poi ricordato la mancanza di regolamentazione adattate a questo particolare illuminazione.

Cinque anni più tardi, il vuoto giuridico, rimane aperta. Peggio ancora, un nuovo studio condotto da un team di Inserm, pubblicato nella primavera del Biologia Free Radical e Medicineest recensione venuto rivivere paure esistenti. Alice Torriglia, Inserm ricercatore dei Research Centre des Cordeliers di Parigi, e il suo team hanno dimostrato che la tossicità di LED commerciale comune è risultata significativamente più elevata di quella di luci al neon ... su ratti albini.

Deterioramento delle cellule
"Ci vogliono solo un paio di ore di esposizione per osservare la retina di questi animali degradazioni fragili ottenute entro giorni di esposizione alle luci al neon, il ricercatore è interessato. Noi, ovviamente, non abbiamo occhi dei ratti albini, per fortuna, ma i meccanismi fisico-chimici coinvolti sono simili. Dobbiamo rimanere molto vigili circa la potenziale tossicità del LED per l'occhio umano, poiché saranno presto onnipresente. "

In questo caso, la radiazione blu, le cui lunghezze d'onda sono comprese tra 400 e 450 nanometri, che è problematico. "Questa luce è più energico di rosso e verde, e ci sono molti più LED che le lampadine convenzionali, riconosce Serge Picaud, capo del team di farmacotossicità retina presso l'Istituto Vision a Parigi . Questa radiazione blu ha anche la particolarità di essere catturato dai derivati ​​pigmento visivo che trasmetteranno questa energia all'ossigeno, che promuoverà l'ossidazione di alcuni lipidi o proteine ​​e causare la distruzione o il degrado delle cellule della retina. "

Se ci sono troppi, le cellule che fanno i lavori domestici negli occhi sarà sempre più difficile fare il loro lavoro correttamente. "Quando le cellule diventano degradato troppi, questo può portare a un oscuramento del centro del campo visivo, una malattia ben nota sotto la degenerazione maculare nome legata all'età (AMD), dice Alice Torriglia. Non dovremmo vedere una esplosione della malattia in dieci o venti anni, perché non abbiamo preso le precauzioni che erano necessarie ". La mostra sempre più importante di bambini di cui Filtro di cristallo molto trasparente fa poco blu, a differenza degli adulti, è un'ulteriore fonte di preoccupazione.

Un terzo del mercato
"Non dobbiamo drammatizzare, gli animi Serge Picaud. Ogni sorgente di luce può essere tossico per l'occhio, è una questione di utilizzo. Come i LED sono più luminosi, è sgradevole da guardare direttamente, che probabilmente limitano la loro tossicità. Sarebbe tuttavia essere buono come il loro blu dominante può essere limitata e che il pubblico sia informato meglio di oggi. "LED" a caldo ", più popolare in Europa, per esempio, sono a priori meno dannosa che il" freddo "che dominare i mercati asiatici.

Alla associazione francese di illuminazione (AFE), abbiamo detto che era a conoscenza del problema. "In Francia, i LED rappresentano oggi circa un terzo del mercato, contro il 80-90% in Canada, per esempio, spiega il suo delegato generale Alain Azaïs. La mancanza di una regolamentazione chiara, non è rassicurante per i consumatori. "

I nuovi studi di tossicità, così come i progressi compiuti dai produttori, consapevoli della necessità di rassicurare gli acquirenti, crescono oggi ANSES per ottenere una nuova perizia. I primi incontri sono previsti nelle prossime settimane. Ci vorranno almeno dodici a diciotto mesi per l'agenzia pubblica le sue nuove raccomandazioni. La SFA si augura che le discussioni a livello internazionale, europeo e nazionale saranno da allora ha portato, nel 2016, i regolamenti di più opportuno che fonte di futuro pieno di luce.
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Re: Studio Inserm suffraga dubbi sui LED a luce fredda

#3

Messaggio da Stefano De C. »

Non avevo visto questo post.
Era cosa nota cmq, che l'elevata componente blu di questi LED è fastidiosa per la retina.
Speriamo che non ci sia un'aumento della maculopatia in futuro (anche se non credo che nessuno si metta sotto un lampione LED a fissare la luce, dato che è molto fastidiosa a vedersi direttamente)
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Re: Studio Inserm suffraga dubbi sui LED a luce fredda

#4

Messaggio da Ranger.LazioStellato »

Sto raccogliendo dati sull'efficienza di emissione (lm/w) delle lampade a LED per illuminazione stradale e comunque potenti, da esterni, e sensibilità dell'occhio umano alle varie lunghezze d'onda.
Uno degli argomenti per la luce "fredda", sintetizzando fortemente, è che più è lontana dalle tinte calde maggiore sarebbe l'efficienza in termini di lm/w.
Ma poiché sotto i lampioni deve vedere dove mette i piedi, o le ruote, un essere umano dotato di retina biologica, e non un luxmetro che cammina sulle gambette come i robot dei cartoons degli anni '30, ecco che se per caso l'intensità percepita con 100w di assorbimento in atto risulta maggiore per che so, 3200°K piuttosto che 4500°K, ecco che anche se il luxmetro dice che il LED che emette a 4500°K produce a dieci metri in asse più lumen misurabili, dal punto di vista delle esigenze dell'utilizzatore risulta più vantaggioso il primo, anche se un display dice che è migliore il secondo.

Non so se son stato chiaro nell'esporre. Sarebbe una buona base di partenza per le future trattative con gli amministratori pubblici e le società che forniscono gli impianti. I LED sostituiranno le lampade ai vapori di sodio ad alta pressione, come queste han sostituito quelle a bassa e quelle a bassa han rimpiazzato (meno male) le lampade a scarica ai vapori di mercurio.

"Opporsi" ai LED è tecnicamente impossibile per via degli investimenti già fatti dalle varie aziende costruttrici, e delle cifre in gioco.
Si tratta di essere concreti e propositivi, e di riuscire a contribuire a governarne l'espansione sul mercato, che è cosa ineluttabile come il flusso di migranti.
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Re: Studio Inserm suffraga dubbi sui LED a luce fredda

#5

Messaggio da serastrof »

Non si tratta affatto di "opporsi" ai LED, bensì quella di governare sia la tecnologia sia la sua applicazione concreta. Così come avviene le emissioni sonore, quelle radioelettriche (CEM), o per le sostanze tossico-nocive, gli inquinanti atmosferici, delle acque e del territorio, occorre regolare e regolamentare l'uso della tecnologia rispetto ai suoi impatti sull'ambiente, e sulla salute umana.

Al momento, siamo alla legge della giungla.

E' già arci-noto (e non certo da oggi e nemmeno da ieri) che le frequenze dello spettro bianco-blu-UV sono più ener-getiche delle lunghezze d'onda maggiori, che hanno una maggior capacità di penetrare oltre la superficie dei tessuti biologici, e che possono aver effetti anche gravemente perniciosi per le specie viventi.
Fin dagli anni '80 si é parlato del buco dell'ozono - ad esempio - ed uno dei problemi che é stato messo in luce é il forte aumento dei melanomi della pelle, sterilizzazione dei suoli e delle acque superficiali (ovvero la loro infertilità rispetto ai cicli di autosostentamento delle catene alimentari (dalle microscopiche unicellulari, alle macrosomiche complesse). Ciò a causa dell''aumentata incidenza di raggi UV verso il suolo, non più filtrato dall'ozonosfera. Al contrario, la luce composita a prevalenza di frequenze giallo-verdi miste al rosso, oltre ad essere centrata sul picco di maggior sensibilità della retina umana, apporta più facilmente calore, ergo infrarosso, che facilita la vita in quanto incrementa lo stato di agitazione dei costituenti della materia biologica, "massaggiandola" e stimolandone la crescita.

Altro esempio, il ciclo notturno dei nitrati, che ripuliscono l'atmosfera dagli inquinanti, a quote prossime al suolo. Ogni notte, in ogni zona buia del territorio, tale ciclo - per impulso della vegetazione - comincia a lavorare per ripulire l'aria, con lo stesso meccanismo del carbone attivo, ovvero catturando le macromolecole dei prodotti di sintesi petroderivati:

viewtopic.php?t=12363
http://www.atmosphere.mpg.de/enid/ss__O ... o_6sb.html
http://www.bbc.com/news/science-environment-11990737

Tale processo, importantissimo ai fini del recupero della qualità dell'aria che respiriamo (soprattutto nei centri urbani) viene fortemente rallentato (fino a scomparire) dalla luce. Quella solare innanzitutto (es.<. riflessa dalla Luna), e - nelle zone antropizzate - particolarmente per la luce artificiale.
http://www.cielobuio.org/index.php?opti ... &Itemid=15

La tecnologia LED, in particolare, é estemamente duttile e versatile, e quindi risulta estremamente facile - dal punto di vista industriale - regimare la frequenza di taglio della giunzione fotoemittente. Basta volerlo!!!! Già oggi sono in vendita in tutti i supermercati e centri spesa lampade LED a colori variabili, nonché bulbi da illuminazione interna/esterna a temperatura colore che va dai 3200 gradi Kelvin (tonalità calda), ai 6000-6500 °K (luce bianchissima e violacea).
Guardare all'Infinito, agire nel Finito
Alzare la testa, allargare il pensiero
serastrof@yahoo.it per un'astrofilia popolare e di massa
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